Premier repas

Elle était allongée sur son lit en pensant à rien de particulier lorsque cette grossière sonnerie retentit,elle ne comprit pas très bien ce que cela signifiait mais le compris bien assez vite,c'était l'heure du diner,elle avait entendus d'autres détenus parler de la qualité de la nourriture,toujours à se plaindre,ils étaient pitoyables!Elle ca lui importait peu la qualité de la nourriture,il lui était arrivé de manger des aniamaux déjà mort trouvé par terre et les manger sans les faire cuire,elle n'était pas difficile.Elle se leva comme les autres,suivant le mouvement,s'étirant un peu,puis elle suivit tout les prisonniers jusqu'au fameux "self" comme ils l'appelaient tous,c'était un réfectoire,une sorte de cantine scolaire,mais en bien plus grande,la comparaison la fit largement sourire et lui fit se souvenir du premier enfant qu'elle avait tué,un véritable carnage,elle avait du sang partout mais elle n'avait jamais été aussi excitée que ce jour là,tout en y repensant,elle avancait dans la file,prenant un plateau,un détenu voulut lui passer devant,elle lui jeta un regard si effrayant que cela l'en dissuada et il retourna à sa place dans la file,on lui servit sa ration et elle alal s'installer à une table,seule comme d'habitude,repensant à la manière dont elle avait lacérer son petit corps inerte et avec quel plaisir elle l'avait fait,elle plongea sa fourchette dans sa ration et commenca à manger pensant aux meurtres qu'elle avait perpétrés un sourire aux lèvres

Le gardien m'avait enmené dans ma nouvelle cellule, elle était au premiere étage et mon codétenue est un petit homme tout sec qui essayait de faire son dure.
Le gardien avait content de me mettre dans ma cellule en fermant la porte il prononca ces derniers mot:

Gardien:"Héhé tu a de la chance tu est la pour le diner...bonne appetit"

Et il partit accompagné de son compagnon avec un petit rire sarcastique.

"Abrutit"

Mon codétenu me fixa longuement avant de commencer a me parler

Codétenu: "Pourquoi toi t'est la toi??"

Je lui répondis d'un ton froid et sec en le regardant d'un aire méprisant

"Et toi pourquoi tu me parle, oubli moi sa serait mieux"

Mon codétenu ne repondis rien et remonta sur son lit dans un silence absolut.
A ce moment la une sonnerie retentit dans le bloc, c'était surement la sonnerie pour aller manger, je ne me fesait pas une joie d'aller manger mais bon....
Les cellules s'ouvrirent et nous nous sommes mis e, position devant, c'est alors ques des gardiens nous dirent de nous mettre en rang et de commencer a aller au self.
Je suivais lentement le détenu devant moi, il parlais avec un vieux de ses 'exploit' de gangster...on arrivaient enfin au self, une odeur de renfermé reignait ici ainsi qu'une ambiance de mer**.
Je pris mon plateau et alla me servir, en ayant fini je sortit du rang pour aller m'installer sur une table, la plus par étaient prise par des groupes de personnes, il y en avait pus en faite de libre, c'est a ce moment qu'un homme qui reculait me rentra dedans et me fis bousculer une miss.
C'était mon codétenu, il avait l'aire déseperé et s'en voulait surement

Codetenu:Hon non vraiment désoler je ne voulais pas pardon pardon"

Je me retourna vers la miss pour m'excuser et je vis donc que la table était vide

"Excuse moi miss, sinon je peux m'assoir?"

Elle était nostalgique en repensant à son passé mais elle n'eut pas le temps d'analyser ce sentiment étrange puisque quelqu'un la bouscula,elle se retourna et jeta un regard glacial à celui qui l'avait bousculer,elle ne l'avait pas vu,en même temps elle était nouvelle,normal qu'elle ne l'ait jamais vu,il s'excusa elle l'écouta et détourna son regard de lui pour le reporter sur son assiette,il lui demanda s'il pouvait s'asseoir,elle s'apprétait à le virer avec une réplique cinglante mais se dit qu'ici elle n'était plus dehors et que par conséquent elle finirait en isolement si elle s'amusait trop,elle se contenta de lui dire

Asseyez vous,je suis seule et puis cette table n'appartient à personne.

Elle replongea dans un souvenir,mais celui ci beaucoup moins agréable,sa vie c'était ca une succession de souvenirs,c'est ce qui la rendait dingue,depuis quelques années elle ne les controlaient plus,elle avait des visions,ca la prenait n'importe quand.Et là elle se revoyait dans l'hopital psychiatrique ou l'avaient envoyé ses parents,on lui injectait du produit dans le bras,elle hurlait tout ce qu'elle pouvait mais rien à faire,ces hommes riait,elle se sentait toute faible,elle ne même plus parler mais était encore consciente le produit n'agissait que sur ses muscles,ces hommes l'avaient violés.Elle revint à la réalité,elle semblait chamboulée,elle releva la tête en sueur,elle l'essuya avec un mouchoir sans rien dire

La miss me repondis que je pouvais m'assoir, je le fis et pris mes couverts, je commencais a manger mon repas jusqu'a quand en regardant devant moi je la vis en trin de marmoner toutes seul et avait bizare, je n'y pretta pas attention, en faite je m'en foutais elle pouvait meme crever en ce moment je n'avait pas la tete a sa.
Je continua donc mon repas jusqu'a quand la miss releva la tete d'un coup et s'essuya avec un mouchoir, elle était en sueur et avait l'air de pas aller bien. Ptain me disais que si elle claquait maintenat j'aurais pas l'air d'un con on croiirait peut etre que ce soit moi.
Je la regarda et lui posa ces qulques mot en expirant d'un air ennuyé

"Qu'est ce que t'a sa va pas?"
"Putain j'ai vraiment pas de chance"

Je poussa un soupir en attendant sa reponse et en penssant

*peut etre qu'elle irais mieux en psycatrie*

Ca y est,la machine était lancée,la machine à tuer,il n'aurait pas du lui parler,elle le regarda d'un air mauvais et sourit d'une facon perverse,milles choses lui passaient par la tête,elle se demandait comme elle allait le tuer,comment elle allait lui faire mal,faire couler son sang,elle attrapa sa fourchette et commenca à jouer avec,elle était déconnectée de la réalité,elle pencha la tête,effrayante,elle le fixait,elle posa son regard sur sa main et prise d'une pulsion elle lui enfonca profondément sa fourchette dans la main,puis commenca à la tourner dans sa main en éclatant d'un rire démoniaque,elle se leva brutalement,envoyant valser sa chaise

(

Oyo une sadique^^ cool Smile

)

La personne en face de moi avait l'aire bizare, elle avait le regard vide et son corp avait l'aire posseder, elle pris sa fourchette et joua avec jusqu'au moment ou elle me la planta...La douleur était horible je poussa un cris et me le va

"Salope"

Les gardien entendant mon cris ce tournerent vers nous ainsi que les autres detenus, ils ce mirent à courir dans notre direction.
Je lui mis ma main dans la tete ce qui la fit reculer et qui me permis d'enlever la fourchette, je me dirigea vers elle pour la tuer, mais des gardiens vinrent nous séparer.

"attend tu va voir"

Je frappa un gardien mais me recu des coups de mattraque tous comme elle, et ils nous tennaient fermemant.

Le gardien qui m'avait mis en cellule arriva

Gardien"Tiens deja toi? tu viens d'arriver pourtant

Il regarda ma main et appuya sur la plaie

Gardien"oua c'est pas jolie a voir, enmener le a l'infermerie et ensuite au trou"

Je regardais fixement la meuf dans les yeux, en faite je n'épprouvais meme pas de la haine a son egard, de me faire sa elle a prouvé qu'elle était folle et que de connaitre quelqu'un comme elle sa peut etree que tous benefs.

Les matons me releverrent et me tenaient par les bras

Gardien: avance!!

HS:oui mdr c'est une psychopathe

Lorsqu'elle lui enfonca la fourchette dans la main il se mit à hurler de douleur,il l'insulta ce qui ne fit que de l'exciter encore plus,elle allait terminer le travail lorsque les matons arrivèrent et les séparèrent,elle lui dit

Pauvre imbécile,regarde ce que tu as fait,par ta faute et ton cri de chochotte tu les as attiré,ne t'en fais pas on se reverra

Elle lui sourit et eut un rire effrayant,les matons la frappèrent,elle se débattit et en envoya un dans le mur,sa force était décuplée car elle se trouvait en pleine crise de folie,un des matons lui mit cependant un coup dans le dos,elle s'effondra et lui dit

Vous me le paierez,vous m'entendez

La ferme,tu vas aller en isolement La psychotique,ca te fera du bien

Ils la menotèrent et l'emmenèrent en isolement,elle jeta un dernier regard vers le détenus qu'elle avait planté,le sourire qu'elle lui fit en disait long sur ce qu'elle comptait faire

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